Infections cutanées bactériennes

Les facteurs de risque d’une dermohypodermite bactérienne non nécrosante comprennent l’obésité, l’immunodepression, l’insuffisance veineuse et les lymphœdèmes

L’antibiothérapie probabiliste à proposer en cas de dermohypodermite bactérienne non nécrosante de la jambe dont la porte d’entrée est un intertrigo inter-orteils doit viser en premier le streptocoque

Une antibiothérapie prophylactique au long cours est indiquée en cas de survenue de 2 épisodes d’érysipèle de la jambe chez un patient

L’antibiothérapie probabiliste à proposer en cas d’impétigo doit viser en premier le streptocoque

Il est recommandé de considérer une autre étiologie que streptococcique d’une dermohypodermite bactérienne non nécrosante en cas de morsure animale

Le traitement d’une érysipélatoïde est l’amoxicilline

L’antibioprophylaxie orale d’une dermohypodermite bactérienne non nécrosante est basée sur la pénicilline V

Le dépistage d’une glomérulonéphrite aigue post streptococcique est systématique au décours d’un impétigo

Les signes d’alarme devant une dermohypodermite bactérienne comprennent un syndrome septique majeur, une douleur intense et des douleurs sous-cutanés